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Erevan. (La création. 1999). Partir de rien, ou presque, et arriver à tout, ou presque. Partir de ce que la vie nous a offert de beau et de moche, sans trop faire dans le détail parfois. Arriver à ce que nos sensibilités et nos capacités respectives nous permettrons de réaliser. C'est ça la mission. En voir la fin, c'est un autre problème. On y travaille. (Les effectifs). Par ordre alphabétique : Fabien (Grimpeur. Cuisinier. Bassiste). Franck (Chef de station. Planchiste. Guitariste et vocaliste). Frédéric (Infirmier. Amateur de chat. Batteur). Jérôme (Sociologue en devenir ou chômeur potentiel. Planchiste. Guitariste et vocaliste). Quatre individualités, par essence, différentes, à l'origine de nombreux conflits d'ordre esthétique, qui arrivent parfois à converger. C'est l'essentiel. (Le son). Traversé par tout ce que le monde occidental a pu produire pendant les 30 (voire 50) dernières années (voire plus) : musique de masse et musique de classes. Loisir, appel à la révolution ou pure mondanité, la musique contemporaine est tout ça à la fois. A nous de faire le tri et de composer avec chacun de ces ingrédients sans dépasser leurs doses respectives. Les rythmes, les sonorités et les mélodies ne naissent pas de rien et ont toutes et tous une histoire à raconter. L'oublier serait une faute. Ne pas s'en servir pour cette raison serait une erreur. Héritiers et acteurs, voilà ce que nous sommes. (Les mots). Langue maternelle et domination culturelle ne sont pas incompatibles : mauvais anglais chanté avec l'accent de nos belles provinces ou bon français qui se livre à une périlleuse contorsion pour s'adapter au format musical anglo-saxon. Ces considérations de forme n'ont qu'une importance minime quand il s'agit de crier son ego. Mais si c'est l'idée que l'on veut transmettre, le mieux est de laisser le moins de place possible à l'ambiguïté. Traductions et explications de textes sont les meilleures armes.
(Les autres-1ère partie-). Le constat n'est pas nouveau mais on le découvre avec des yeux de nourrisson : ce monde est étrange. D'autant plus étrange que celles et ceux qui le composent ne semblent pas se rendre compte de cette étrangeté. Le monde des humains est en particulier très étrange : outre le fait que de tout temps il y ait eu des maîtres et des esclaves, très peu de personnes se sont questionnées sur la réalité de ce type de domination. La domination, on la subit (des autres et de soi-même) et on la fait subir (aux autres et à soi-même). C'est une chose qui n'est pas évidente à admettre et avant de la pointer du doigt chez les autres, peut-être faudrait-il l'entrevoir en nous-même. Le constat n'est pas nouveau mais on le découvre soit parce qu'on nous l'a soufflé à l'oreille, soit parce qu'on l'a éprouvé. (Moi). Si tu crois que mes rires et mes pleures ont moins de poids que tes pavés, fais la révolution sans moi. P.S. : N'oublies pas de brûler toutes les bibliothèques et interdis l'usage du miroir. (Les autres-2ème partie-). Tous ces visages inconnus lorsque l'on s'exhibe sur une scène sont très chouettes. Presque autant que les visages familiers, à ça près qu'on ne peut pas être certains de leur bienveillance. Ce n'est pas grave, ce n'est pas grave….Tous inspirent. Garçons et filles de divers microcosmes, vous dictez nos politiques quotidiennes et donnez un sens à notre bruit. Vous nous faites exister par votre support, votre désaccord, bref, votre intérêt. Merci et bonne continuation. (Les autres-3ème partie-). Pour celles et ceux qui se foutent du son, de mots, du constat et de l'ego, mais qui aiment sans conditions les individus cachés derrière. (Conclusion). Erevan est un présent. Servez-vous !

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m.a.j. janvier 2006